Le Cinéma du lac présente La grande beauté

Le Cinéma du lac présente La grande beauté

Rediffusion | Source : Cinéma du lac

Le Cinéma du lac présente l'Oscar du Meilleur film étranger de l'année, La grande beauté (La grande bellezza) du réalisateur italien Paolo Sorrentino, les mercredi 16 avril à 19h00, samedi 19 avril à 20h00 et dimanche 20 avril à 13h30. Il est présenté en version française.
 
Pour préparer votre visionnement, écouter des entrevues, voir les bandes-annonces ou photos, et trouver différents liens, consultez notre page Facebook:
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Le bulletin, avec des critiques du film, est en pièce jointe.
 
La programmation du Printemps 2014 est disponible sur le site de la Ville de Disraeli : www.villededisraeli.ca  ainsi que dans divers commerces et établissements du secteur sud de la MRC des Appalaches, via nos affiches et dépliants de saison.
 
LA GRANDE BEAUTÉ (La grande belleza)

LA GRANDE BELLEZA de Paolo Sorrentino (IL DIVO et THIS MUST BE THE PLACE) vient de remporter l'Oscar du meilleur film étranger 2014.  Auparavant, il avait déjà reçu la distinction de meilleur film en langue étrangère aux Golden Globes. Lors de la 26e remise des prix du cinéma européen, il avait raflé le prix du meilleur film, le prix du meilleur réalisateur, celui de meilleur acteur (décerné à Toni Servillo) et le prix du meilleur montage.

http://www.youtube.com/watch?v=jttrBCyqnEU

Rome dans la splendeur de l'été. Les touristes se pressent sur le Janicule: un Japonais s'effondre foudroyé par tant de beauté. Jep Gambardella (Toni Servillo) - un bel homme au charme irrésistible malgré les premiers signes de la vieillesse - jouit des mondanités de la ville. Il est de toutes les soirées et de toutes les fêtes, son esprit fait merveille et sa compagnie recherchée. Journaliste à succès, séducteur impénitent, il a écrit dans sa jeunesse un roman qui lui a valu un prix littéraire et une réputation d'écrivain frustré: il cache son désarroi derrière une attitude cynique et désabusée qui l'amène à poser sur le monde un regard d'une amère lucidité. Sur la terrasse de son appartement romain qui domine le Colisée, il donne des fêtes où se met à nu "l'appareil humain" - c'est le titre de son roman - et se joue la comédie du néant. Revenu de tout, Jep rêve parfois de se remettre à écrire, traversé par les souvenirs d'un amour de jeunesse auquel il se raccroche, mais y parviendra-t-il ? Surmontera-t-il son profond dégoût de lui-même et des autres dans une ville dont l'aveuglante beauté a quelque chose de paralysant...

«Avec ce sixième film, chronique délirante de la comédie humaine sur fond de vide spirituel, l'inventif et prolixe Paolo Sorrentino s'impose comme l'héritier de Fellini et des grands cinéastes italiens.» (La Croix).

Johanne Laurendeau, présidente